Plus de 12 000 arbres plantés dans l'Oise pour renouveler la forêt... (5 février 2021)

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Une "tempête silencieuse" ravage les forêts d'Ile-de-France. Un article du Journal du Dimanche du 7 octobre 2020.

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Une publication 20 Minutes avec AFP, du 17 septembre 2020.

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Un article du Monde du 13 septembre 2020 qui fait un état de la forêt de Compiègne.

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Un article "Compiègne : une vaste et belle forêt royale" publié dans "La Voix de la Forêt" (décembre 2019), la revue de l'Association des Amis de la forêt de Fontainebleau et rédigé par le président de la Sauvegarde du Patrimoine des Forêts du Compiégnois, Emmanuel du Passage.

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Une tribune de Philippe Gourmain sur l'état de la forêt européenne, parue dans Le Monde du 7 octobre 2019.

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Les Vikings ont rasé les forêts, l'Islande reboise à tout va. Lire ci-après l'article paru dans Le Point

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L'épicéa, recherché par les luthiers, mis à mal par les tempêtes de cet automne. Un article de Marc Rouvé paru dans "La lettre du musicien" de janvier 2019.

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Un article du Courrier Picard du 12 mars 2019 signalant la diffusion d'un documentaire sur la chaîne WEO.

 

Des veneurs se mobilisent en forêt de Compiègne en ouverture de la Marche pour le climat. Un article du Chasseur de l'Oise de février 2019.

 

Plusieurs massifs du Compiégnois attaqués par un champignon et un insecte. Voir ci-après l'article du Parisien du 19 février 2019.

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"Il y a urgence absolue à sauver nos abeilles"

En plus des pesticides, il y a les dégâts provoqués par le frelon asiatique et le bouleversement climatique qui appauvrit les plantes mellifères en pollen et nectar, nourritures de nos abeilles. En plus de nous fournir leurs précieux produits (miels propolis, pollen, gelée royale...), n'oublions pas qu'elles assurent la pollinisation vitale de nos cultures vivrières. Le problème numéro un, les pesticides, est maintenant reconnu par l'opinion publique et par de plus en plus d'élus locaux.

Prédateur redoutable de l'abeille, le frelon asiatique se place devant une ruche et attend ses victimes pour s'en nourrir sur place ou les ramener dans son nid. "Je place des pièges à frelon avec du cidre (plus efficace que la bière), mais il faudrait venir les vider chaque jour, confie Joël Allais, apiculteur amateur à Treillières (44). Comme je ne peux me rendre à mon rucher aussi souvent, j'ai eu beaucoup de pertes l'an passé." Résultat : sur dix ruches, il ne lui en reste plus aucune cette année, certaines abandonnées, il est vrai, pour cause d'affaiblissement naturel des colonies.

Deux extraits parus dans "Le Chasseur Français" de juin 2018

 

Dépérissement

L'inventaire forestier national estime que 2% des arbres présentent une dégradation significative de leur houppier. Les feuillus sont les plus atteints, notamment les châtaigniers dont 11% présentent plus d'un quart de branches mortes (maladies de l'encre, du chancre...). Suivent les frênes 5% (chalarose), les chênes pubescents 4%, les chênes pédonculés 3%, les hêtres 1% . Régions les plus touchées : Nouvelle-Aquitaine et Occitanie.

Chalarose

Selon le Département de la santé des forêts, la chalarose du frêne a peu progressé chez nous l'an dernier. Néanmoins, elle a poursuivi son extension vers l'ouest, de la Bretagne à la Nouvelle-Aquitaine, jusque vers Bordeaux. Son avancée est très limitée au sud, dans le Cantal, le sud de l'Ardèche, la Drôme ou la vallée des Hautes-Alpes. Le climat méditerranéen freinerait ainsi sa progression. Maladie fongique due au Chalara fraxinera, la chalarose se traduit par la mort de rameaux, des névroses au niveau du collet ou des flétrissement du feuillage.

Deux textes parus dans "Le Chasseur Français" d'avril 2018

 

 

Un article du Courrier Picard du 22 mars 2018.

 

UN LABEL D'EXCEPTION POUR LES MARAIS DE SACY

Ils rejoignent le Golfe du Morbihan ou la Baie de Somme. Les marais de Sacy-le-Grand, vaste étendue de tourbière de 1.000 ha, entre Clermont et Creil, ont reçu en octobre 2017, le label Ramsar... Ramsar est synonyme, pour les sites concernés, d'une reconnaissance mondiale en tant que zone humide. En Picardie, seule la Baie de Somme avait, jusqu'à maintenant, obtenue de compter parmi ces lieux...

Michel Datin, de la réserve ornithologique intégrée dans le site, confirme : "Nous avons recensé 180 espèces d'oiseaux, de janvier à décembre. Parmi eux, 112 sont des oiseaux nicheurs, particulièrement intéressants à étudier".

On compte aussi parmi les "habitants" des marais, des gentianes des marais, une plante commune dans les tourbières  mais devenue rare en France, des butors étoilés, une espèce très menacée d'oiseaux échassiers ou des campagnols amphibies, des rongeurs que l'on trouve de moins en moins au niveau mondial.

... Le chemin a pourtant été long avant de réaliser l'intérêt que représente ce site. Henri IV avait, le premier, décidé de faire assécher les marais. Cinq siècles plus tard, dans les années 1970, des promoteurs immobiliers ont eu l'idée de les transformer en base de loisirs... Depuis 2005, les tourbières sont en zone Natura 2000 et en 2010 le Syndicat mixte, regroupant des représentants des sept communes où s'étendent les marais et le Conseil départemental, voit le jour. "Un équilibre dans la gestion des marais a été enfin trouvé".

Extraits d'un article de Camille Pineau

paru dans le Courrier Picard du 4 décembre 2017

 

LES BOIS DU FUTUR

A 30 ans, Timothée Boitouzet est le fondateur de Woodoo, la start-up aux 23 brevets. Cet architecte s'initie à la biologie moléculaire à Harward et met au point l'année dernière un bois transparent imputrescible, deux fois plus résistant au feu et trois fois plus solide qu'un bois naturel. Une première mondiale ! "En enlevant la lignine qui est le ciment du bois et en y greffant une résine végétale, les bois fragiles comme le charme deviennent exploitables".

Les applications sont infinies assure l'inventeur : construction, industrie aéronautique et nautique (il résiste au sel !), mais aussi industrie du luxe, comme l'horlogerie ou l'architecture d'intérieur.

Avec un parcours d'artisan, l'ébéniste breton Steven Leprizé est le lauréat à 31 ans de Talents d'exception 2017 le prestigieux prix de la Fondation Bettencourt-Schueller. Baptisé WooWood, son bois couplé à du caoutchouc crée un résultat miraculeux. Elastique comme un textile, on y glisse des magazines, des lampes, et on obtient un meuble-bureau très XXIe siècle.

 

LES ARBRES DE TOUS LES RECORDS

Georges Feterman a cofondé l'association Arbres en 1994 et mis en place le label Arbre remarquable en 2000, décerné à 500 spécimens "faute de ne pas pouvoir aller plus vite car les courriers pleuvent des quatre coins de la France" précise-t-il. Et la palme revient à... l'olivier du vieux village de Roquebrune-Cap-Martin sur la Côte d'Azur qui a l'âge du christianisme, 2000 ans.

Le plus gros fait presque 14 mètres de circonférence, c'est un tilleul planté à Bracon dans le Jura en 1477 pour célébrer le mariage de Marie de Bourgogne, fille de Charles le Téméraire, avec Maximilien d'Autriche.

L'ancien professeur de SVT demande désormais aux autorités "sinon une reconnaissance juridique, du moins morale de ce qui est un patrimoine culturel  végétal". Sachant que les racines de l'arbre, considérées comme son cerveau, contiendraient des informations millénaires. Ah, si les arbres pouvaient parler ! Pour le moment, le seul moyen de les protéger est de les faire classer dans le PLU des communes. Mais quiconque serait pris d'une envie de bois de chauffe peut débiter un arbre remarquable dans son jardin.

Heureusement la région Ile-de-France a pris ce sujet à coeur, et dresse actuellement son inventaire pour proposer une protection adaptée.

Deux extraits d'un article de Sixtine Dubly

paru dans la revue Paris Match du 9 au 15 novembre 2017

intitulé "L'arbre sort du bois"